« Mon travail ici est très simple, sans transcendance quelconque. Je me limite à recueillir des témoignages épars, à laisser parler les survivants et projeter l’ombre des morts. Je modifie à peine le ton, et j’adapte à la littérature le langage simple et rude d’hommes qui n’eurent d’autre université que le chantier, l’atelier, l’usine ou les durs travaux de la terre ».
En librairie le 25 mai 2018.