Des enfants de la Guerre Civile, victimes innocentes d’un conflit qui les a souvent arrachés à leur terre natale. Que sont-ils devenus ?
Quelques images dans le désordre de la guerre. Il suffit de lire les visages.
. A l’abri de la pluie sur la Gran Vía en 1940. Hermes Pato (1897-1978), photographe espagnol.
Cliché de Kati Horna (1912-2000), photographe anarchiste de nationalité hongroise.
Kati Horna, Madrid 1937.
Barcelone 1939. Margaret Bourke-White (1904-1971), première femme correspondante de guerre de l’armée américaine.
Des enfants ramassent des grains de blé, Gran Vía, 4 novembre 1936. Luis Ramón Marín (1884-1944), l’un des premiers photoreporters espagnols. A la fin de la guerre, il n’a plus été autorisé à exercer sa profession.
Orphelines. Biarritz, mai 1939.
La chute d’Irun, le pont international.
Le photographe Raymond Vanker (1913 ), sous les balles franquistes, franchi la frontière d’Irun avec un bébé que lui a confié une maman lors de l’incendie de la ville.
Luchon, 13 avril 1938.
Madrid, 1936.
Guernica, 1937.
Gerda Taro.
Gerda Taro.
Gerda Taro.
Gerda Taro, 1936.
Gerda Taro.
Plaza del Carmen, Madrid.
Plaza del Carmen, Madrid.
Madrid, fin juillet 1936.
Enfants évacués.
Évacuation de Madrid, gare d’Atocha, décembre 1936.
Extremeño, 1936. David Seymour, dit « Chim » (1911-1956), cofondateur de l’agence Magnum en 1947 avec Robert Capa, Henri Cartier-Bresson et George Rodger.
Croix Rouge, 29 octobre 1936.
Madrid 1937.
Cati Horna.
Henri Cartier-Bresson.
Teruel. Capa
Cordoue, septembre 1936. Capa.
Madrid 1936. Capa
Malaga, février 1937. Capa.
Bilbao, mai 1937. Capa.
Argelés. Capa.
Bilbao 1937. Capa.
Tarragona, 15 janvier 1939. Capa.
Le camp d’Argelés.
Le camp Joffre à Rivesaltes.
Calle Alcalá.
Distribution de cadeaux día de Reyes, Madrid 1937.
Refuge, 1938.
Premiers bombardements de Madrid, août 1936.
Le Perthus, 1939.
Mons, Belgique, juin 1937.
Distributions de jouets, día de Reyes, Barcelone 1936.
Barcelone 1939.
Barcelone, Agustí Centelles (1909-1985). Il est l’auteur de la seule photographie de George Orwell dans les rangs du POUM.
Dessins d’enfants (origine indéterminée, collection personnelle). On reconnait en particulier les Savoia Marchetti italiens et les Junker Ju 87 allemands
Une réflexion sur « LES ENFANTS DE LA GUERRE CIVILE. Quelques photos. »
Bonsoir Jean-Claude et merci pour ce reportage photographique d’enfants espagnols durant cette mauvaise période. Je l’ai visionné plusieurs fois pour tenter d’y retrouver les traits de ma mère sur l’un des visages mais c’était déjà une adolescente au départ du conflit et ses frères étaient plus âgés qu’elle. La photo des 2 enfants avec des paquets dans les mains qui est prise à Guernica, il me semble l’avoir vue ailleurs, dans une autre ville, style des enfants évacués dans les Asturies (mais la mémoire visuelle flanche peut-être un peu !!!). J’ai vu les belles photos de Gerda, la « compagne » de Capa dont tu nous as parlé il y a peu de temps par mail (qu’as tu donc après ces photographes qui se sont aimés sans doute ?). Toutes ces photos sont saisissantes d’effroi. Bravo aux photographes qui ont risqué leurs vies sur ce terrain, et parfois même ont aidé des enfants à passer la frontière en les prenant dans les bras. Je me demande si la photo de la femme qui donne le sein à son enfant n’est pas un peu « relookée ». S y R
Bonsoir Jean-Claude et merci pour ce reportage photographique d’enfants espagnols durant cette mauvaise période. Je l’ai visionné plusieurs fois pour tenter d’y retrouver les traits de ma mère sur l’un des visages mais c’était déjà une adolescente au départ du conflit et ses frères étaient plus âgés qu’elle. La photo des 2 enfants avec des paquets dans les mains qui est prise à Guernica, il me semble l’avoir vue ailleurs, dans une autre ville, style des enfants évacués dans les Asturies (mais la mémoire visuelle flanche peut-être un peu !!!). J’ai vu les belles photos de Gerda, la « compagne » de Capa dont tu nous as parlé il y a peu de temps par mail (qu’as tu donc après ces photographes qui se sont aimés sans doute ?). Toutes ces photos sont saisissantes d’effroi. Bravo aux photographes qui ont risqué leurs vies sur ce terrain, et parfois même ont aidé des enfants à passer la frontière en les prenant dans les bras. Je me demande si la photo de la femme qui donne le sein à son enfant n’est pas un peu « relookée ». S y R