Une cinquantaine de personnes présente lors du débat avec Anne Jollet (la directrice de la revue d’histoire critique les cahiers d’histoire)puis quatre vingt personnes pour suivre les belles prestations de la chorale militante « La P’tite Rouge de Touraine » et du groupe (en formation restreinte) d’El Comunero. Une soirée emprunte d’enthousiasme et de fraternité antifasciste… Cela fait du bien en ce moment !
Ce reportage de l’industrie cinématographique récemment collectivisée documente l’actualité à Barcelone dans les premiers jours de la guerre/révolution après la défaite de la première tentative de coup d’État.
Les images des suites des affrontements (y compris l’assaut de la caserne Atarazanas) et des foules en liesse occupent une place importante dans ce reportage. Cela donne une idée de l’atmosphère qui régnait lors de ces premiers jours de la révolution libertaire.
Les religieux, supplétifs de tous temps des fascistes…
En 1939, la lutte du peuple espagnol contre le coup d’etat fasciste touche à sa fin. anarchistes et communistes paient leur défaite face à la troika brune franco/hitler/Mussolini .
Dans la prison de Ventas, dirigée par des religieuses, Hortensia, Elvira et Tomasa attendent de connaître leur sort. A l’extérieur, leurs familles et leurs amis vivent dans l’angoisse.
Peu à peu, avec la discrétion de ceux qui se sentent épiés, des liens se tissent, des histoires se racontent…
Et celles qui se savent condamnées formulent un dernier vœu : n’être jamais oubliées. Grâce à ce récit bouleversant, elles sont enfin exaucées.
En 1929, il voit le jour dans un petit village (Ginesta de Ebro) baigné par l’Ebre. C’est sa patrie, l’endroit où il prend ses racines. De là, il va suivre sa famille au fil de l’histoire bondissante de l’Espagne. En février 1939, réfugié en France, , dans le Loiret, il nous conte en détail ce que fut son existence, sa conscience libertaire et son engagement de toute une vie dans la lutte anarco-syndicaliste. Au détour de son récit, il ne manque pas de rendre hommage aux habitants de Puiseaux qui ont accueillis sa famille à bras ouverts, parmi d’autres exilés, et les ont protégés tout au long de la guerre mondiale.
Pour lui, l’exil fut synonyme de sauvetage, de paix et de développement. Mais il n’a jamais cessé son engagement dans sa vie professionnelle et pour lutter contre la dictature franquiste en maintenant vivace son idéal à travers ses actes de militants de la CNT espagnole en exil.