Des enfants de la Guerre Civile, victimes innocentes d’un conflit qui les a souvent arrachés à leur terre natale. Que sont-ils devenus ?
Quelques images dans le désordre de la guerre. Il suffit de lire les visages.
Dessins d’enfants (origine indéterminée, collection personnelle). On reconnait en particulier les Savoia Marchetti italiens et les Junker Ju 87 allemands
Une réflexion sur « LES ENFANTS DE LA GUERRE CIVILE. Quelques photos. »
Bonsoir Jean-Claude et merci pour ce reportage photographique d’enfants espagnols durant cette mauvaise période. Je l’ai visionné plusieurs fois pour tenter d’y retrouver les traits de ma mère sur l’un des visages mais c’était déjà une adolescente au départ du conflit et ses frères étaient plus âgés qu’elle. La photo des 2 enfants avec des paquets dans les mains qui est prise à Guernica, il me semble l’avoir vue ailleurs, dans une autre ville, style des enfants évacués dans les Asturies (mais la mémoire visuelle flanche peut-être un peu !!!). J’ai vu les belles photos de Gerda, la « compagne » de Capa dont tu nous as parlé il y a peu de temps par mail (qu’as tu donc après ces photographes qui se sont aimés sans doute ?). Toutes ces photos sont saisissantes d’effroi. Bravo aux photographes qui ont risqué leurs vies sur ce terrain, et parfois même ont aidé des enfants à passer la frontière en les prenant dans les bras. Je me demande si la photo de la femme qui donne le sein à son enfant n’est pas un peu « relookée ». S y R
Bonsoir Jean-Claude et merci pour ce reportage photographique d’enfants espagnols durant cette mauvaise période. Je l’ai visionné plusieurs fois pour tenter d’y retrouver les traits de ma mère sur l’un des visages mais c’était déjà une adolescente au départ du conflit et ses frères étaient plus âgés qu’elle. La photo des 2 enfants avec des paquets dans les mains qui est prise à Guernica, il me semble l’avoir vue ailleurs, dans une autre ville, style des enfants évacués dans les Asturies (mais la mémoire visuelle flanche peut-être un peu !!!). J’ai vu les belles photos de Gerda, la « compagne » de Capa dont tu nous as parlé il y a peu de temps par mail (qu’as tu donc après ces photographes qui se sont aimés sans doute ?). Toutes ces photos sont saisissantes d’effroi. Bravo aux photographes qui ont risqué leurs vies sur ce terrain, et parfois même ont aidé des enfants à passer la frontière en les prenant dans les bras. Je me demande si la photo de la femme qui donne le sein à son enfant n’est pas un peu « relookée ». S y R